FREI DRANG



L'encre de la plume qui glisse sur le papier est semblable au sang coulant dans mes veines.

 
 
 

Le chant des guitares

 

Les guitares chantent, les voix se taisent; la musique emplit pour que l'on se comprenne. La complicité passe entre les auteurs de ce si beau nectar et se traduit par ce goût de miel si sucré pour les oreilles. Indescriptible instant magique et apaisant, rythmes endiablés inspirant, tragique éphémérité d'un merveilleux moment. Le musicien, à l'état brut, à l'état pur, sans tenir compte des statistiques, sans tenir compte des petits bouts de papier qui régissent notre monde; voila la vraie magie; voilà le plus beau fruit de la nature humaine. Voilà le véritable Homme.

Oubliez tout. Ecoutez vous.






 


                         Méditation intèrieure





J'ai désormais assez de force pour encaisser.
Pour apprendre.
Pour soutenir ceux qui s'effondrent; ils auront mes bras pour pleurer et mon âme pour les consoler.
Même si c'est dur; ce n'est pas compliqué.
Les problèmes, il suffit de les disséquer.
Ainsi, ce n'est plus une informe masse noire dans laquelle tu te sens si profondément embourbé que tu auras à affronter; simplement un nombres de problèmes illimités mais surmontables à dépasser;
et des bonheurs à accepter -eux bien plus présents que tu ne le crois...









 

Beautiful soul




 Tu es... tout ce qu'elle n'est pas.

 

Tu es... un gosse en perpetuel émerveillement devant le monde qui t'entoure.
 

 Un être en quête de perfection. Un alien qui hurle du haut du toit du monde pour trouver ce

qu'il appelle sa moitié.

Elle est... tout ce que tu ne seras jamais.

Elle est... une gamine apeurée face à la vie.

 
 Une jeune fille qui se voudrait parfaite, à ta hauteur. Une sorte d'exception à la règle qui

veut s'affranchir de tout,

 sans jamais pourtant réussir à briser ses chaînes.

Tu es leur rêve. Elle est son propre cauchemar.

Tu as leur amour. Elle a sa haine envers elle-même.

Elle ne sait plus qui croire. Raison, passion? Vie ou folie?

Elle ne veux plus y croire.

Pourtant, si tu lui prouve que c'est possible; si tu lui montres le chemin;

si tu lui montres que cette certitude qu'elle ressent au plus profond de son coeur est vraie, si tu la complètes...

 

Alors un jour, elle aura peut-être réellement l'occasion de te dire ces mots qui l'étouffent.

Elle doit juste avoir la force d'y croire encore , d'attendre toujours un peu plus.

Et peut-être qu'un jour, elle comprendra que tu n'as jamais vraiment été absent.

 



 

Parce qu'on se ressemble.
Et parce qu'on s'assemble.



                               













 
  Je sais. La vie est compliquée.

 

 Je sais. Trop de sentiments peuvent faire souffrir.

Je sais. Je n'ai plus besoin qu'on me le dise.

Impossible, irréel. Irrationnel, Fou. Tentant...

 Mais arrêtez! Vous parlez comme si vous n'aviez jamais vraiment connu les

sentiments.

Vous vous cachez derrière cette raison pure, si

délicieusement...absurde. Parce qu'il est absurde de se dire toute sa vie qu'il y a des règles dans ce que l'on ressent; il n'y en a plus eu

depuis la première fois où l'être humain a prononcé ce mot: amour. L'âge n'a pas d'importance. La vieillesse n'était elle pas symbole de sagesse?

Depuis quand avons nous oublié la signification de chacune des expèriences vécues? Le sexe n'a pas d'importance. Quoi? Pourquoi deux garçons

ou deux filles ne pourraient s'aimer? Qu'est ce que cela change quant à la pureté des sentiments? Le statut n'a pas d'importance.

Chanteur, prof, meilleur ami vu sous un jour nouveau, ou tout autre personne que l'on ne serait pas sensé aimer, tout cela ne signifie

plus rien lorsque l'on aime. Parce que vous croyez vraiment que le coeur regarde tout ça? N'importe quoi. Le coeur assure la survie
 
de l'espèce humaine. Et qu'on ne me dise pas le contraire: l'amour, c'est simplement rencontrer ce que l'on juge être une belle âme
 
et s'y accrocher désespérement avant de suffoquer sans elle. L'amour, c'est le seul sentiment qui vaille la peine d'être vécu, c'est la
 
seule chose qui peut sauver ce monde. C'est la seule chose qui fait que l'on ne peut totalement se détourner de l'être humain:
 
le fait qu'il puisse tout donner pour une personne, tout, de son corps à sa vie, en passant par son coeur et son âme...

Peu importe qu'il existe ou non cette moitié que l'on cherche tous, on aime. C'est tout. Et c'est infiniment grand.

Majestueusement merveilleux. Extraordinairement puissant...



Because life is wonderful.

Parce que l'oiseau a des ailes qui le portent au plus haut des cieux.

Parce que l'être humain a la Pensée qui lui coupe ses ailes imaginaires.

Parce que le poisson nage et fait de l'océan sa profondeur secrète,

Parce que l'Homme se noie à l'intèrieur de sa tête.

Parce que le temps qui passe apprends aux autres,

mais qu'à l'Homme il est blessure infinie.

Que sa fuite est éperdue,

et notre existence futile.

Parce que tous nous comblons le néant en nous inventant des buts,

parce que nous rêvons l'innaccessible pour ne jamais voir le vide,

Parce que nous cherchons à nous élever pour éviter de tomber,

Parce que la mort nous fait peur, les sentiments nous font peur,

être seul nous fait peur, être nous mêmes nous fait peur...

Parce que l'Homme n'est qu'un animal.

Mais que l'acte de la Pensée lui fait tout redouter, et surtout son inutilité.

Parce que nous refusons de nous avouer que nous existons pour exister.

Que nous avons un laps de temps limité, mais qu'il est un cadeau fait à la Vie.

Parce que nous pourrions être si beaux sans cette peur qui détruit tout,

Parce que nous pourrions simplement accepter de faire ce pourquoi nous sommes là,

                                                                           
                                                                           VIVRE.

 

 

 Rêve!


Tu n'abandonneras pas. Quoiqu'on en dise, t'abandonneras pas. Jamais. Celui que tu aimes t'a déjà tout pris, que pourrait-il te voler de plus de toute façon? Mais il existe une chose à laquelle tu ne renonceras pas, jamais , et surtout pas pour lui: tu ne t'en rends compte que maintenant mais tu as toi aussi une vie, toi aussi un rêve, quelque chose qui t'as toujours poussé, qui, ça au moins, ne te laissera pas tomber; t'es prête à te brûler les ailes, à vendre ton âme, à te damner du ciel et devoir foutre le camp en enfer lorsque tu crèveras, mais ce ne sera pas avant d'avoir volé ta vie. Parce que sa vie, faut la prendre, l'arracher. Personne ne nous donnera nos rêves, c'est à nous de tout faire pour les atteindre. D'avoir assez de tenacité pour pas s'égarer dans d'inutiles gloires. Ton rêve: écrire. Il dit que chacun à sa raison d'exister sur cette terre? Et bien toi, c'est pour cela que tu vis. Et certainement pas pour lui. Même si tu sais que tu tenteras malgré tout d'arrêter sa course vers les étoiles, juste pour qu'il voit que tu existes... Dans tous les cas, on vit pas seulement pour rêver. On rêve pour vivre. Et pour avancer. Où? Sur quels chemins? Mystère. Mais sans doute est-ce là la force de notre vie. Ne pas savoir où l'on doit aller. Cela laisse plus de place aux décisions du coeur. Qui reste, quoiqu'on en dise, les plus importantes.


 


Intrusion? 

 C'est dingue quand même. Cette impression qu'à chaque coin de rue, tu seras là. Cette extrême attention que j'ai à regarder la foule, à garder la tête levée pour scruter chacune des personnes que je croise, dans l'espoir fou que cette personne aura tes traits. Que tu seras là en face de moi. Dans ma réalité. Parce qu'il n'est pas possible d'avoir autant souffert, de désirer et d'aimer autant, sans qu'un jour, tu rentres dans ma réalité. Que tu fasses tomber la barrière qui m'empêche de te dire tout ce qu'il faudrait que je dise; ça me ferait exploser. Garder tout ça pour moi.



 
 Love. Tout simplement. 

 

 

 Inaccessible. Innateignable. Lointain. Trop loin. Si l'amour ne connaît aucune frontière,
 la solitude et la sensation d'absence n'en connaissent guère non plus. Imaginer l'autre,
 penser à la souffrance, à l'isolement ou à toutes les choses négatives qu'il pourrait  
 ressentir blesse. Chercher, encore et toujours, à percer les sentiments que cet autre nous
 cache dans ce qu'il hurle pourtant incessamment à la face du monde, et qui pour nous reste  
 toujours obscur. N'être jamais sûr de rien. Dans une incertitude totale. Penser aux rêves
 accomplis et à ceux en passe de le devenir et s'en sentir heureux. Sans que jamais l'autre
 ne le sache. Préférer avoir à supporter l'idée que le coeur de l'âme soeur appartienne à
 une autre personne plutôt qu'affronter l'idée de la perdre dans les affres indubitables de
 la mort. Mais l'on a pas besoin de cet étranger dont on connaît le coeur. Non; ça, jamais
 on ne se l'avouera. Qu'il y a, dans une vie, des rencontres irraisonnables. Et qu'on a tous
besoin d'aimer. N'importe qui, n'importe quand et même n'importe comment. L'amour n'a pas de mode d'emploi, mais qui le racontera aux hommes, stupides agneaux calculateurs et
bornés?









 


Perfection; destruction.




 

C'est en rêvant d'atteindre sa perfection que tu te détruis. C'est en étant trop exigente avec toi même que t'en fais des conneries. Et qu'inlassablement, t'empires ton cas. Et parce que tu dérappes, tu cherches à être toujours plus exigente. Toujours plus stricte avec ton corps. Et ça recommence. Pourtant tu sais qu'il n'est pas parfait. Pourquoi te donnes tu donc tant de mal à atteindre un mot impossible "perfection"? Tu sais que t'en as pas besoin. Mais c'est, au fond, plus fort que toi. C'est comme ça. C'est tout. Sans doute que ça fait maintenant trop longtemps que tu te martyrise pour réussir à changer. C'est ça en fait, ce qui te manque: te laisser aller.





Puisque la seule chose que l'on connaît assez de soi même est son coeur...

C'est ça qui fait le plus mal dans l'illusion, comme dans le rêve. Sentir sa présence, sa chaleur, lui sourire et se blottir contre sa poitrine. Et puis, au réveil, sentir l'immonde douleur éclater. Entendre le silence résonner de son absence, sentir ce coeur qui nous semble organe inconnu étouffer, s'affoler. Observer comme un spectateur étranger son image lointaine se répercuter dans un écho infini contre les murs de sa propre âme. L'illusion est en soit plus bénéfique que ne pourrait sans doute l'être la réalité; mais là où l'on en saigne, c'est lorsque l'on en comprend le sens: l'être tant désiré n'est pas là, ne l'a jamais été et ne le sera jamais. C'est tout. Et pourtant c'est déjà insupportablement beaucoup. Bien sûr, pour certain, cet amour incommensurable que l'on peut porter à un être absent ne signifie rien. Et pourtant... Trois ans, il est vrai que ce n'est quasiment rien à l'échelle humaine. Mais lorsque l'on aime, cela revient à attendre pendant une parcelle d'éternité. Mais l'on attend, inlassablement, parce que dans la lueur d'espoir qui constitue l'être humain, on ne peut faire que cela. Même si c'est vain. Il est vrai que cet amour à sens unique semble étrange, mais n'existe-t-il pas différentes façon d'aimer? Il y en a qui dise que, mettre une personne dans une si haute estime que l'on en suspend sa vie, pour ne la remettre en marche qu'à l'arrivé de l'être aimé protège. Parce que pendant ce temps, on ne souffre pas des blessures réelles, puisque l'on a tout mis sur pause. Sans doute. Et pourtant, avez-vous idée comme cela fait mal de s'accrocher chaque jour un peu plus à quelqu'un que l'on n'aura jamais, qui ne reviendra pas? Que l'on ne pourra même jamais ou jamais plus effleurer? De voir cette personne évoluer et de l'aimer toujours, encore, à s'en rendre dingue? De s'attacher à ses plus gros défauts, ses plus infimes qualités? Ce n'est pas qu'un échapatoire à sa vie que d'aimer l'inaccessible. Même si ce serait sans doute plus sain et plus facile de s'attacher à quelqu'un d'autre, comment le pourrait-on, quand l'âme qui nous quitte à jamais semble jumelle à la notre?

S'accrocher à quelqu'un est sans doute le meilleur moyen d'avoir mal. Ou le pire.

 

 

 Pourtant, tout ne fait que commencer 

Exactement. Il n'est plus temps de douter. Plus temps d'avoir peur. Plus temps de trouver de faux prétextes qui permettent d'empêcher de vivre pleinement. Il n'est plus temps d'être triste, ou de se demander qui l'on est. Il n'est plus temps de reculer mais de suivre la voie que l'on a décidé, depuis longtemps déjà, d'emprunter. Certains d'entre nous sont déjà loin, bien plus avancé sur la voie des rêves et de la vie. Mais il n'est jamais trop tard pour les rattraper, pour grandir et accomplir, à notre tour, ce que, dès l'enfance nous avions programmé. Mais que nous avons oublié et mis au placard au fil du temps et des préjugés qui s'accumulaient. Au fil du rôle qui, pour protéger les âmes encore innocentes, à peine sorties de l'enfance, face à ce monde corrompu, se tissait et nous entrave désormais. Mais nous avons beau chercher à fuir le monde, il est un moment où celui ci nous rattrape forcément. Tout ce qu'il faut, c'est espérer réussir à avoir le temps de se préparer à l'affronter avant. Alors, il est tant de laisser les masques en coulisses et d'apprendre à se battre pour l'enfant que l'on reste, avant qu'il ne soit trop tard. Battez vous!

 

FREIHEIT



"Everyone belongs to everyone else". Faux. Je n'appartiens à personne. Personne ne peux ni n'a le droit de me posséder. La liberté coule dans mes veines et je n'ai besoin de personne pour la ressentir. Le bruissement des vagues répand l'écho de mon âe e le soleil réchauffe les pans éparpillés et noircis que l'amour a taché. La solitude et la nature font de moi ce que je suis. Et je sais que désormais personne ne pourra m'enlever cette quiétude que je ressens. Si je ne suis que liberté, qu'elle s'empare de mon ête; alors je ne crains rien, et je sais mon esprit aussi grand que l'immensité de la mer. Je n'ai plus ni craintes, ni peurs; il n'y a plus de jugements ou d'autres êtres sur terre, seleument la vie qui palpite en moi et le bruissement des ailes des oiseaux dont je n'envie plus le vol.

 


Moi, moi, Vous, Nous sommes.





Simplement vivre.














 

Simplement, la musique dans les oreilles. Le vent qui rafraîchit le visage. Les muscles qui s'étirent, qui s'épuisent, qui se renforcent au fil des kilomètres parcouru. Le soleil qui tape et qui, au bout de quelques heures, commence à taner la peau. Les haltes pour sentir l'eau fraîche couler dans sa gorge, humidifier ses lèvres et dégouliner sur le visage. Repartir. Les haltes pour manger, tranquillement, tout en observant ce calme et cette beauté. L'arrivée, le vélo cadenassé et les sacs sur les épaules, se trouver une place à l'écart, en solitaire. Poser les sacs; les abandonner là pour immédiatement profiter de la fraîcheur de l'eau. Puis le soleil qui sèche et réchauffe. Qui fonce la peau encore un peu plus. Le livre et les mots qui calme, la sieste au soleil. Puis, déjà, repartir, parce que la route est longue avant de rentrer. Refaire le parcours en sens inverse, toujours autant grisée de tant de calme. Se sentir bien, vraiment bien. Et enfin, après deux nouvelles heures de route, être chez soi. Prendre une bonne douche, commencer à sentir les courbatures et l'épuisement, mais ne pas réussir à effacer le calme de sa tête pourtant habituellement chaotique. Ca s'appelle grandir, il paraît. En tout cas, l'été est là.

 



Eux...

Il sait qu'elle souffre.
Il aimerait tant pouvoir lui dire quelque chose,
quelque chose d'assez fort
pour faire taire les larmes qu'il ne voit pourtant pas
et les cris qu'elle étouffe.
Parce qu'il sent qu'elle se tait pour ne pas tout gâcher,
pour ne surtout pas perdre ce peu si précieux qu'il peut lui donner.
Mais il ne peut rien dire de plus que ce qui a déjà été dis..
Il a désappris l'amour depuis quelques années .
Comment saurait -il aussi subitement rouvrir son coeur figé?



Elle dort mal. Et pourtant, ô que le manque de sommeil risquerait de la faire chavirer!
Mais elle ne pense qu'à lui, elle ne sait plus faire autre chose. Il est inscris dans sa tête et dans
son coeur.
Elle ne cesse de cauchemarder, car il la poursuit jusque dans ses nuits qui en deviennent  alors bien
trop agitées...
Mais peut-être  survivra -t-elle.
A ces regards inquiets incessants  qu'il lui lance, à ces trois mots qu'elle a osé  prononcer et qui
résonnent chaque fois entre eux deux, comme une promesse lancée et teintée d'espoir.
Elle survivra. Elle se cachera pour pleurer, elle criera en silence lorsque le désir  se fera  trop
intense, elle attendra.
Elle ne doit pas le perdre.

 


 

 


 

Le cours de l'existence


Il est incroyablement grand de percevoir sa propre évolution.
Sentir toutes ces choses que l'on était incapable de comprendre ou même rien que d'apercevoir auparavant. Pouvoir les voir, les toucher, désormais.
Il est d'autant plus incroyable de sentir la maturité qui s'est emparée de nous, le temps d'une durée nommée un an, deux ans ou même trois; mais qui finalement ressemble á des années bien, o combien plus longues. Ici, chaque mois en fait six. Ici, je me sens comme ayant parcouru déjá la moitié de ma vie. Et pourtant il m'en reste le quadruple á faire! Ces projets concrétisés ne sont qu'un début. Mais lorsqu'on se retourne pour regarder en arriére, restant immobilisé assez pour vraiment comprendre ce qui a déjá été accompli, on sent la fermeté de ce qui a été mis au monde et ce sont des larmes, de fierté malgré tout, d'un sentiment d'incompréhension et d'émerveillement mêlés, qui nous envahissent. Je ne suis pas grand chose, mais plus chaque jour que ce que j'étais hier. Et nous mourrons grands de ce que nous serons devenus -tous.



 




Le cours de l'existence ne nous lâchera pas comme cela, oui, nous mourrons tous, plus grands que nous ne pouvons nous imaginer l'être aujourd'hui, immenses par ce qui nous reste chaque fois á découvrir et au travers de cette place que nous aurons su accorder aux croyances que nous cachons au fond de nous. Etre ou ne pas être, a dit Shakespeare. Fenêtres ouvertes sur le monde, laissez vos esprits s'ouvrant vous guider. Soyez. 
 




 



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