LA COULEUR DE NOS CONSCIENCES



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Ce roman-ci est une tentative de compréhension du monde, c'est un autre regard porté par autrui sur notre propre vie.

C'est, en quelque sorte, une thérapie.



Résumé

Ce livre n’en est pas un. Il n'est pas une histoire.
Il n’est que l’ensemble des sentiments de plusieurs êtres, trace de couleurs et de pensées mélangées.
Il est à la fois une enfant femme, une femme enfant, un jeune homme indifférent aux affaires du cœur,
un homme mature doutant soudain de l’étendue de sa vie, un aveugle qui parle. Beaucoup.
Oui, c’est surtout un homme ; qui parle.
Lui. L’homme sans regard mais aux yeux perçants.
C’est un savoir autre que celui appris dans les écoles, d’une sagesse imposante échappant à tout regard.
Ce livre c’est vous. Nous. C’est notre aveuglement.

 
 

EXTRAITS:
 

" -Tu sais, avait-il poursuivi, je crois que ta vision du monde est aussi simplifiée, car il t’est ainsi moins difficile de pouvoir catégoriser les gens. Et cela n’est guère blâmable. Tous font cela, chaque individu ressent le besoin de classer toute chose et plus particulièrement les êtres lui ressemblant, afin de distinguer ceux qui lui correspondent de ceux qui lui nuisent – ou pourraient lui nuire. Mais j’ai comme l’impression que tu devrais t’ouvrir au monde, tenter de comprendre plutôt que de vouloir tout ordonner dans des classes déjà prédéfinies par la société ou la plupart de ceux la composant… "

[...]


"Et si tu devais, demain, perdre la vue, crois-moi, tu serais loin d’être aussi désorientée que ce que tu t’imagines. Car nous avons une bien forte tendance à mettre nos autres sens de coté au profit de la vue qui, lorsque l’on y réfléchit, nous perd bien plus par l’influence qu’elle exerce sur nous qu’elle ne nous aide à percevoir le monde de manière lucide."


                                                                                               [...]

" -Qu’as-tu donc contre ce sentiment ? Je ne le trouve pas important parce que notre société en fait toutes ces simagrées basées sur une romance rosé et allant même jusqu’à en profiter pour commercialiser ce sentiment en un jour spécial ; mais bien à cause de ma propre expérience et de cette force qui envahit lorsque l’on aime. Il n’y a que l’amour qui puisse permettre une telle compréhension de l’autre, une telle volonté de symbiose. Qu’as-tu donc contre cela ?
Je souris plus largement encore.
 – Rien. Je n’ai rien contre. Simplement… ne rendons-nous pas tout bien trop compliqué ? Cet espèce de pseudo amour n’est-il pas en fait qu’une égoïste pulsion à la tendance possessive quant à autrui ? Je n’apprécie guère cette idée de me laisser enfermer dans ce cercle vicieux emprisonnant, à sans cesse devoir rendre des comptes. A lier les ailes de ma liberté.
– Tu compares l’amour à un cachot ?
Je réfléchis un instant, pensif.
 – Non. Je pense juste qu’il existe d’autres manières moins… « tragiques » d’aimer."


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